Sentence BDSM et famille recomposée

Catégories : Femmes soumises SM camisole Femmes soumises sexuelles
il y a 3 ans
J’avais 26 ans quand, sur fessestivites, j’ai rencontré mon Maître. Agé de 40 ans, il a su apaiser et dompter la fougueuse little que j’étais pour lui faire découvrir le BDSM.
Respectueux mais ferme, ce lover m’a transformée en soumise, parfois même en petite chienne soumise et heureuse de l’être. Avec lui j’ai connu l’Amour et des jouissances d’un autre monde.

Son BDSM était autant cérébral que physique. Le plaisir dans la douleur était modéré, juste ce qu’il fallait pour que je m’abandonne, que je lui laisse les commandes de ma vie au nom du bonheur. J’avais rarement des marques, même si mes fesses étaient parfois écarlates quand je le provoquais trop, ou pour en avoir toujours plus. C’étais un ange avec moi car j’étais extrêmement fougueuse et rebelle.

Pour les vacances de Noël, il a accepté de louer un studio à Villard-de-Lans, un domaine skiable français dans le massif du Vercors. Il savait un peu skier et moi, j’allais être sa prof ! Pour une fois, nous allions inverser les rôles. Les premiers jours ce sont bien passés. Si j’étais une bonne prof, j’avais droit à une fessée, si j’étais une mauvaise prof et le mettais en difficulté j’étais privée de fessée et réduite à « bouche à pipe » et bien entendu, privée de jouissance. Autant dire que je prenais soin de mon «élève ».

En fin de semaine il avait beaucoup progressé, je l’ai emmené en hors piste, j’adore ça. Pour faire ma belle, le dernier jour, je l’ai conduit au sommet du télésiège du Grand Canyon, on bascule côté arête du Gerbier sur le versant Est, avant de rebasculer sur stade ESF. Comme il avait beaucoup neigé, ils l’avaient fermé par sécurité. Pour pas qu’il le voit, j’ai contourné cette interdiction par la montagne et je lui ai indiqué que je voulais faire une dernière descente de folie. Il n’aurait qu’à suivre les traces à sa vitesse.

Je me suis littéralement éclatée dans la poudreuse. Avec son bonnet équipé d’écouteur, musique à fond, la folle qui descendait quasiment en ligne droite, c’était moi. La folle qui n’a pas pensé qu’il passerait son temps à freiner c’était aussi moi, qu’elle conne. Il y sûrement déclenché une coulée de neige. S’il avait su skier comme moi, peut-être que cela ne serait pas arrivé. En ne le voyant pas me rejoindre, j’ai commencé à stresser. Je ne pensais pas à l’accident, au pire j’imaginais une chute avec une jambe cassée. Ski au dos, chaussures à moitié ouvertes pour avoir un peu d’aisance aux chevilles, j’ai donc décidé de remonter et de suivre mes traces. C’était épuisant. Quand au bout d’une heure j’ai vu que mes traces disparaissaient sous de la neige j’ai compris. Je me suis mise à hurler, à pleurer.

J’ai appelé les secours.

J’ai vu passer l’hélicoptère au dessus de ma tête.

Il est passé plusieurs fois, lors d’un de ses passages ils m’ont fait signe de redescendre.

La nuit tombait, j’étais folle d’inquiétude.

La nuit fut la plus horrible que j’ai passée.

Quand ils l’ont trouvé le lendemain, c’était évidement trop tard.

Avec mon inconscience et ma folie, j’avais tué mon Maître, mon amour, l’homme de ma vie.

....................

Nous venions de nous marier, rester dans sa maison vide de lui, était horrible. Avec mon petit boulot de secrétaire, trouver un appartement pour fuir cette maison chargée de si beaux souvenirs n’était pas évident. Six mois plus tard la jeune little soumise très sportive était devenue une loque avec une addiction : la boisson.

Boire pour oublier mon désespoir m’a conduite un soir sur Fessestivites où j’ai refait un profil. « Maso et soumise sexuelle cherche un Maître dur ».

Je n’étais ni maso, ni soumise sexuelle, je voulais juste me faire payer l’addition. J’ai fini par trouver, sur un autre site moins surveillé, un homme qui a du comprendre ma recherche. Je vais le nommer Prédateur car son pseudo était bien trop gentil à côté de celui-la.

Pour payer ma dette à la vie, je lui avais indiqué qu’il fallait me bâillonner et m’attacher pour me faire plaisir et tout ce qu’il avait envie. Attachée et bâillonnée, je ne pouvais donc plus fuir ou me défendre, j’étais obligée de souffrir. La douleur n’était plus plaisir, elle était exutoire.

Un soir de grande déprime, j’ai indiqué à Prédateur qu’il ne devait pas tenir compte de mes cris, que j’aimais tout ce qu’il me faisait. C’était partiellement faux. Avec les endorphines, mon corps compensait et trompait la douleur. J’ai parfois plané pendant qu’il me tannait les fesses ou m’écrasait les tétons. Je lui ai demandé un jour de me fesser la chatte. Au début j’ai eu très mal, au bout d’un moment, après chaque coup il y avait un moment « bon ». Et quand ensuite il m’a baisée sans me détacher, mon corps a joui sans ma permission. L’association de la douleur due, à l’impact de son corps sur mes lèvres intimes tuméfiées avec la pénétration m’a faite grimper aux rideaux, comme on dit.

Quand il m’a libérée, je pleurais. Je pleurais de mon mal être, pas de la douleur. Alors que lui ai dit que je voulais être sa pute, que j’avais adoré. C’était évidement faux, je voulais continuer de me dégrader, de me punir d’avoir tué l’homme de ma vie. Avec Prédateur, je m’étais adressée à la bonne personne pour ce genre de chose.

Prédateur n’a jamais cherché à comprendre. Ma douleur intérieure il s’en foutait. Quand je lui ai dit que je voulais être sa pute, j’ai ajouté que ce qui m’excitait, c’était d’être bâillonnée et attachée pour ne pas pouvoir fuir les clients. Ses yeux se sont illuminés en entendant ça.

Il n’a pas tardé à emménager sa vieille caravane, de façon à m’attacher bras et jambes écartées sur le lit qu’il a renforcé. Au dessus du lit il avait fait un panneau avec comme indication « le donjon mobile de ma salope maso ». Pour l’inaugurer, il m’y a entravée après avoir bandé mes yeux avant de se mettre à rouler. Je ne voyais rien, je sentais juste que nous roulions. Cela devait l’exciter que de promener sa pute offerte, car il s’est arrêté pour venir en profiter. Dans mon désespoir, je ne mouillais pas, la pénétration a été douloureuse, Brutus s’est éclaté et le pire, c’est qu’un bout d’un moment, j’ai aimé être ainsi souillée, malmenée, dégradée.

Un quart d’heure plus tard, nous reprenions la route, lui dans sa voiture, sa pute toujours attachée. Je n’avais aucune idée de l’endroit où nous allions et de ce qu’il allait m’arriver. La peur a commencé à venir en moi. Ce trajet vers l’inconnu a été le déclencheur, des neurones encore valides s’attaquaient à mon mental défaillant. Ils me criaient qu’il fallait que j’arrête ces conneries, que cela ne le ferait pas ressusciter. Et là, j’ai pris conscience de ce que je faisais, ce que je devenais.

Il était trop tard pour fuir la sentence que je m’étais donnée.

Quand il s’est garé, j’ai entendu des voix qui m’ont faite peur. Pour la première fois depuis la mort de mon Maître d’Amour j’étais honteuse. J’avais aussi vraiment très peur mais il était trop tard pour fuir la sentence que je m’étais donnée. Prédateur ne s’arrêterait pas.

Comme pressenti dans mon inquiétude, quelqu’un est monté dans la caravane. Il empestait le cigare. Quand j’ai entendu la porte de la caravane se refermer, j’ai su que j’allai y passer. « La pute maso va être servie » a dit l’inconnu en se déshabillant. Un quintal de viande s’est couché sur moi. Son gros ventre écrasait le mien pendant qu’il cherchait la faille entre mes cuisses. Il n’y a pas de préliminaire avec une pute, on vient se vider les couilles. Sa pénétration m’a coupée le souffle, je ne sais pas s’il était si gros que ça, mais j’ai vraiment eu mal. Et comme Prédateur avait indiqué « le donjon mobile de ma salope maso » sur son panneau, le mec a sûrement cherché à « me faire plaisir ».....

Le nez dans sa poitrine, aux senteurs mêlées de cigare et de transpiration, je me suis faite labourer la chatte et massacrer les seins. C’était horrible, j’étais un vrai sac à viande servant à se vider les couilles. Après avoir joui, il s’est retiré et m’a mis une paire de gifles en guise de pourboire en me disant, que j’étais une bonne pute. Moi la little joueuse un brin bourgeoise j’étais devenue une pute, quelle horreur.

La sentence a duré, Prédateur semblait chercher la rentabilité avec sa pute maso. Il y a eu plusieurs nationalités parmi les hommes qui me sont passés dessus. A la fin, je ne sentais plus rien, le pantin de chair attendait que tout cela se termine. Hélas, l’un des clients a demandé des aménagements. Prédateur est entré dans la caravane et, sans se soucier de moi, a relevé mes jambes pour les attacher aux même points d’encrage que mes bras.

Le lubrifiant froid sur mon anus, qu’il a travaillé avec son doigt, m’a terrorisée. J’ai fait des « non » désespérés de la tête, des « on » dans mon bâillon. Comme j’avais indiqué à Prédateur de ne jamais écouter mes réfutations, il n’en a pas tenu compte. Je suis convaincue aujourd’hui, que même si il avait compris que je n’en pouvais plus, il ne se serait pas arrêté.

Le client désireux d’utiliser mon petit orifice n’a pas été brutal. Au contraire, il a pris soin de moi. Par sa douceur il a réussi à me décontracter. Depuis des mois, il a été le seul à me faire l’amour, à jouer avec la soumise. Il mettait sa main autour de mon cou comme pour m’étrangler sans pour autant le faire, enfin si mais juste un peu, juste ce qu’il faut pour que je me sente « sa chose ». De l’autre main, il titillait les tétons avec douceur en même temps qu’il me sodomisait en douceur. Avec sa verge qui devait être de bonne taille, ses mouvements lents et profonds me faisaient bien sentir la possession.

Le plaisir naissant m’a perturbée, cela devait être une sentence, pas de l’amour. Si j’avais décidé de fuir Prédateur une fois sortie rentrée chez lui, là j’étais bien, conquise par les fesses, ses gestes fermes et doux en même temps. Dans un état second avec la fatigue et cette situation totalement folle et hors normes, j’ai cru un instant que mon Maître d’Amour était ressuscité, qu’il était là, que c’était lui J’ai joui oui, mais j’ai surtout aimé cet inconnu parvenant à me faire redevenir « moi », moi comme avant.

Un autre est passé après lui, je n’ai quasiment plus rien senti car j’étais plus vraiment là. Mon esprit était ailleurs. Prédateur est venu me libérer, je mourrais de soif, il n’avait pas pensé à ce « détail ». Sur le chemin du retour, couchée sur le siège arrière de sa voiture, je lui ai demandé qui était l’avant dernier en lui disant qu’il avait été génial. M’a donnée son pseudo sans se méfier, sans imaginer que j’allais fuir et essayer de retrouver cet homme qui m’avait conquise en vingt ou trente minutes, je ne sais pas combien duraient les passes.

Arrivés chez Prédateur, j’ai pris une très longue douche, j’avais un impérieux besoin de me laver de toute cette horreur. Ayant estimé que la sentence était terminée, que j’avais payé ma dette à la vie, je me suis enfuie. Trois jours plus tard, après des dizaines d’appels téléphoniques et de nombreuses menaces, il est venu chez moi. Comme je ne lui ouvrais pas le portail, il l’a sauté. Alors j’ai ouvert la porte de la maison et j’ai laissé sortir le rottweiler de mon Maître. Quand il l’a vue arriver, Prédateur est parti en courant. Il a escaladé le portail à la vitesse grand V. Pas assez vite pour échapper au chien qui lui a mordu les fesses et arraché un morceau de pantalon. Le cul ensanglanté à l’air a fini par basculer du bon côté du portail. Les flics sont arrivés à ce moment là, un voisin les avait appelés.

Pris en flagrant délit de tentative de cambriolage, après son passage à l’hôpital il s’est retrouvé en garde à vue. Les gendarmes m’ont indiquée qu’il risquait une peine d’emprisonnement pouvant aller jusqu’à 3 ans ainsi que d’une amende de l’ordre de 45 000 euros. Je n’ai pas porté plainte puisque mon chien lui avait expliqué qu’il ne fallait pas revenir. Il a pris trois mois avec sursis. Comme il n’avait pas parlé de prostitution, je n’en ai pas parlé non plus, cela aurait été injuste puisque c’est moi qui, dans ma dépression, lui avait demandé. Il ne m’a plus jamais contactée, le sursis lui a fait peur.

Trois mois plus tard, avec l’aide d’un psy, j’allais mieux. Il voulait que l’on continue les séances mais je n’en avais plus envie, plus besoin. Je crois que c’est le BDSM qui l’inquiétait. Il avait peur que je sombre à nouveau et retombe dans le même schéma.

J’ai retrouvé sur Fessestivites le client qui m’avait conquise dans la caravane. C’est autour d’un coca pour moi (j’avais arrêté l’a l c o o l) que je lui ai tout raconté. Il avait les yeux tous mouillés en m’écoutant sans jamais me couper. Il s’est excusé platement d’avoir participé à cette horreur en m’expliquant la stratégie de Prédateur. Des photos de moi et un descriptif peu élogieux avaient circulée. La contribution financière était, soi-disant pour l’aider à payer la caravane....

MaindeferGDV (Main de fer gants de velours) a accepté de me revoir et de m’accompagner dans ma reconstruction. Il a précisé qu’il avait deux e n f a n t s qu’il aime comme la prunelle de ses yeux en me demandant si cela me posait un problème. J’ai évidement répondu non à cette question. Le rendez-vous suivant a eu lieu au restaurant. Nous avons parlé de choses et d’autres puis de sa vision du BDSM : discret, calme, sensuel, respectueux mais ferme quand il le faut. Un mois plus tard il est venu chez moi me donner la fessée que je « méritais ». Il n’y a eu aucun débordement en dehors de la fessée. Il y a ensuite eu plusieurs rendez-vous sur le même thème et toujours chez moi car chez lui, cela n’était pas possible tant que nous ne déciderions pas de construire quelque chose. Il voulait protéger ses e n f a n t s dont il a la garde.

Deux mois plus tard, il a prétexté inviter une copine de travail à dîner, c’est ainsi que j’ai découvert sa maison et sa petite famille. Ses e n f a n t s âgés de 14 et 16 ans n’ont pas été dupes. Ils ont bien senti que je n’étais pas qu’une copine de travail. Ils m’ont rapidement adoptée et ne m’ont jamais posée de question, hormis sur mon travail, mes loisirs. Peut-être que MaindeferGDV leur avait indiqué d’éviter le sujet de mon passé.

Aujourd’hui je suis une femme comblée, aimée, « réparée ». Pourquoi ? Parce que je revis mes passions coquines et BDSM et que nous allons nous mettre en couple. Je file car j’ai des cartons à faire pour mon déménagement.

Bises

........Fin......

TSM

Cette histoire érotique est totalement fictive et une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées ou n’existant pas encore est purement fortuite.

Cette ressource n'a pas encore été commentée.
Publicité en cours de chargement